1 mai 2013
O combien de bobin, combien de croquemitaines
Il y a des jours terribles où je ne souffre pas. Bien sûr, le fardeau est là, et bien là. La nuque raide et les cervicales broyées, la peur sans objet, la peur de tout puisque j'ai peur de rien sont là pour me le rappeler au cas très improbable où, dans...